Donald Trump a nommé Linda McMahon ministre de l’Éducation.
Joshua Roberts / REUTERSLinda McMahon, ex-femme de Vince McMahon et ancienne vice-présidente de la WWE, a été nommée ministre de l’Éducation ce mardi 19 novembre par le prochain président américain Donald Trump.
Donald Trump prépare en effet son retour à la Maison Blanche, alors qu’il entrera à nouveau en fonction en janvier prochain. Or, si nous en parlons ici, c’est car le quarante-cinquième et quarante-septième président des États-Unis a annoncé, dans un communiqué publié ce mardi 19 novembre 2024, que Linda McMahon occupera le poste de secrétaire de l’Éducation à partir du début effectif de son second mandat.
Linda McMahon, déjà proche de l’administration Trump
Linda McMahon a travaillé à la WWE aux côtés de Vince McMahon entre les années 1980 et 2009, date à laquelle elle décide de quitter la compagnie de Stamford pour s’engager en politique. Elle candidate alors pour obtenir la nomination du Parti Républicain à l’élection sénatoriale de 2010 dans l’État du Connecticut. Elle échoue à deux reprises, en 2009 puis en 2012, mais reste proche de la sphère politique aux États-Unis ; quelques années plus tard, elle offre un soutien financier conséquent à Donald Trump lors de la campagne présidentielle de ce dernier pour les élections de 2016. Puis, entre 2017 et 2019, elle assure le poste de ministre chargée des petites entreprises, lors du premier mandat du président Trump.
« En tant que ministre de l’Éducation, Linda se battra sans relâche » pour offrir plus de liberté d’enseignement à chaque État américain et « donner aux parents les moyens de prendre les meilleures décisions en matière d’éducation pour leur famille », a déclaré ce dernier dans son communiqué.
« Nous allons RENDRE L’ÉDUCATION AUX ÉTATS et Linda sera le fer de lance de cet effort », a-t-il poursuivi.
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Aujourd’hui âgée de 76 ans, la femme d’affaires américaine serait désormais séparée de Vince McMahon, et ce notamment suite à l’affaire Janel Grant et au retour au premier plan médiatique du « scandale des Ring Boys », procès dans lequel elle est par ailleurs nommée.
